L’ombudsman et défenseur des enfants et de la jeunesse, Bernard Richard, a recommandé des changements radicaux au système de bien-être de l'enfance pour les Premières nations, en réduisant de 11 à trois le nombre d'agences. Il a aussi demandé la mise en place d'un Bureau des services à l'enfant et à la famille des Premières nations unique qui fournirait des fonctions administratives et financières aux trois agences, et il a formulé des recommandations relativement au financement, à la gouvernance, aux normes de prestations de services, à la formation et à la responsabilité. Ce rapport étudie en profondeur les problèmes bien enracinés touchant les collectivités des Premières nations tels la pauvreté, les pharmacodépendances, la violence familiale, et l'érosion des cultures et des langues malécite et micmaque.